A l’ouverture des travaux de cette journée, il a été fait une récapitulation de la première journée.

S’en est suivie un exposé sur les Options stratégiques par rapport aux Politiques nationales des jeunes, du monde du travail pour les jeunes et les syndicats. le communicateur s’est basé sur l’exemple de trois pays (Burkina Faso, Sénégal et la Cote d’Ivoire).

Cette communication a donné lieu à un débat qui a porté sur l’accompagnement indispensable des secrétaires généraux dans le processus. L’attention a également été portée sur la problématique de l’approche des associations des jeunes en vue de leur syndicalisation, les problèmes de la mise en œuvre de la charte de l’UA dans certains pays en Afrique.

Une session a été consacré aux travaux en groupe. Trois groupes ont été formés à cet effet et on eut à travailler respectivement sur les stratégies de recrutement et d’organisation des jeunes travailleurs dans le secteur formel, le secteur informel et au niveau des jeunes femmes. Les travaux ont été restitués en plénière et dans les discussions, les participants ont apporté leurs contributions aux résultats des différents groupes de travail.

Une autre présentation axée sur la question d’investissement dans les politiques de la jeunesse a eu lieu dans l’après-midi. Elle a donné lieu à un débat très riche qui a ressorti entre autres, les points comme : la réorientation des jeunes travailleurs vers les syndicats, la problématique du travail décent dans les zones franches, l’intégration des jeunes dans l’élaboration des politiques, les enjeux du système LMD dans le système d’éducation en Afrique et la sécurité sociale pour les jeunes travailleurs.